ambro Elémentaire d'Eau
Nombre de messages : 35 Localisation : Marseille Date d'inscription : 22/07/2005
| Sujet: Tigane Jeu 22 Déc à 13:06 | |
| Pour mon retour sur le net après un mois et demi d'abscence. (sav de wanadoo un peu long à la détente) Je reviens pour vous faire part de mes impression sur ce bouquin. J'ai eu du mal à le trouver dans les librairies de marseille. J'ai du le commander. Le problème c'est qu'on ne le trouve pas au rayon sf/fantasy. En effet JaiLu ne l'a pas edité parmis sa collection fantasy. En ce qui concerne le roman. L'auteur met au centre les personnages. Un peu comme dans les lions d'AL Rassan ce n'est pas l'action qui prime. Mais la compagnie des ces personnages tout au long d'un bouquin d'à peu près 1000 pages est très agréable et il est difficile de les quitter un fois le bouquin terminé. Les ennemis des héros sont bien présents dans l'histoire et attachants. Je le répète ce bouquin vaut vraiment le coup pour les personnages qu'on y rencontre. En ce qui concerne l'histoire je vous laisse en dessous un quatrième de couverture. La bataille de la Deisa - où le prince Valentin a disparu, défait par l'armée et la sorcellerie du roi conquérant Brandin d'Ygrath - a scellé le sort de la péninsule de la Palme. Longtemps déchirée par les querelles intestines de ses provinces-Etats la voici sous la férule partagée de Brandin et d'Alberico de Barbadior, tyrans et maîtres sorciers. La résistance renaîtra d'une poignée d'hommes et de femmes conduits par le prince héritier Alessan, sous le masque de ménestrels et de marchands itinérants. Une longue et dangereuse croisade les attend, pour libérer la Palme et ramener au jour le nom même du pays de Tigane et l'éclat de son histoire, éradiqués de toutes les mémoires par la vengeance du roi sorcier. Dans ce monde inspiré de l'Italie de la Renaissance, Guy Gavriel Kay compose une épopée fantastique d'une puissance et d'une originalité rares. Les passions humaines et politiques y vibrent à la mesure d'un grand roman d'aventures pathétique, qui se lit aussi comme une métaphore de l'impérialisme, de l'occupation, de l'exil en son propre pays et de la lutte de libération. [/img] | |
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